Super Parquet, c’est l’adéquation des musiques traditionnelles du Centre France et des musiques expérimentales électroniques. Basés entre Lyon et Clermont-Ferrand, les cinq membres du groupe explorent, depuis 2014, les effets du drone et des musiques de transes. Un premier album éponyme a été lancé en 2015. Julien Baratay (voix, machines), Antoine Cognet (Banjo), Simon Drouhin (machines, boîte à bourdons), Louis Jacques (voix, cabrette) et Léo Petoin (clef de voûte du son) vous offrent une musique psychédélique, planante, dansante et sans concession. Ils ont inventé ce style électrisant qui remporte un beau succès dans les bals et festivals. Partout où ils passent, c’est la fête au village!

– Ce qu’en disent les média européens –

Musique psychédélique d’Auvergne« , c’est ainsi que les quatre larrons de Super Parquet définissent leur musique. Une cornemuse, un banjo, un orgue de barbarie couplé à des pédales d’effet et une flopée de machines composent cet ensemble qui semble né d’une fête de village finie au LSD. Saturées, réitérées jusqu’à l’hallucination, les mélodies des airs traditionnels qu’ils réinterprètent parviennent à vous faire simultanément plonger en transe et danser la farandole. Traxmag

Donner « aux fêtes de village des airs de raves païennes », Jean-Louis Brossard, programmateur des Transmusicales de Rennes, ne s’y est pas trompé. Avec Super Parquet, c’est une bande cinq freaks qui allient tradition et lâcher de chevaux. Pour rappeler qu’on peut se payer une bonne tranche à tout âge avec eux. Sourdoreille

Super Parquet ressemble à une ébouriffante exploration des musiques traditionnelles couplée à une ahurissante recherche sonore électronique. Ça n’existait pas, ils l’ont inventé. Une musique un peu sauvage, animale, où la cornemuse emblématique de l’Auvergne vient flirter avec les sons synthétiques des machines. Un banjo s’énerve, s’électrise, s’enflamme. C’est prenant, c’est planant, c’est dansant, c’est fait de tension et sans concession. Altitude Jazz Festival

Super Parquet vous connaissez ? C’est un monstre de bal à quatre têtes, un manche de banjo, des anches qui remuent, pas mal d’électronique sous le capot, se nourrissant de musiques traditionnelles et dont le puissant rugissement commence à rencontrer de sérieux succès AMTA

Tout a commencé comme dans un morceau de John Carpenter. Quelques notes de banjo amplifié répétées à l’envie, avant que la cabrette et les machines ne viennent méduser l’auditeur. Dix minutes pour une Bourrée coulée de l’Artense (de l’intense !), de quoi scotcher le public dès l’ouverture du concert avec une musique sans concession, hypnotique comme du drone et qui ne demande qu’à sortir hors les murs pour se répandre et diffuser son bourdon dans l’immensité du dehors. Une mise sous tension intransigeante, toute contenue mais bouillonnante comme une montée d’acide. Dans leur exploration ébouriffante, les Lyonnais n’en oublient pas moins la base, comme en témoigne le fabuleux morceau de conclusion, M’en revenant des noces, chanson traditionnelle accompagnée d’une ritournelle électro. Musique totale, chemin tout tracé vers l’extatique, de quoi chialer et planer en même temps. Magma Magazine

Extrait d’un spectacle 

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